Victoire pour l’ex-archevêque
L’ex-archevêque de Paris, Michel Aupetit, a remporté une victoire judiciaire inattendue lorsque la Cour de Cassation a confirmé son innocence. La Cour de Cassation a statué que la condamnation prononcée par la Cour d’Appel de Paris pour une affaire de faux en écriture était infondée.
Cette décision offre un soulagement et un espoir à l’ex-archevêque, qui s’était vu être condamné à une peine de prison de 12 mois, dont 6 mois avec sursis, pour une affaire qui remontait à 2011. Dans cette affaire, l’ex-archevêque était accusé d’avoir falsifié une déclaration sur un plan de retraite appartenant à un prêtre.
L’avocat de M. Aupetit a salué la décision de la Cour de Cassation et a souligné que cela était une confirmation de l’innocence de son client. Il a également déclaré que ce cas "montrait la nécessité pour les accusés de pouvoir faire valoir leurs droits et de ne pas être victimes de procès inéquitables."
L’innocence de Michel Aupetit reconnue
La Cour de Cassation a confirmé que M. Aupetit n’avait pas commis de faux en écriture, et que la condamnation prononcée par la Cour d’Appel de Paris n’était pas fondée. Cette décision offre à M. Aupetit un répit après une longue période de procès et de suspicion.
L’ex-archevêque a exprimé sa gratitude à la Cour de Cassation et a déclaré : « Je tiens à remercier chaleureusement la Cour de Cassation pour sa décision et je me réjouis qu’elle ait raison de l’injustice qui m’a été faite. »
Cette décision marque une victoire importante pour l’ex-archevêque, qui a maintenu son innocence et s’est battu contre l’inégalité des procès pendant des années. Il a déclaré qu’il était reconnaissant à la Cour de Cassation pour avoir "rendu l’injustice réparée".